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Mille excuses, l’oubli a été réparé.
En espérant que cela vous sera utile,Bien cordialement,
Prof français-prépaBonjour Aïcha,
Pas de panique : cela arrive à tous les étudiants. Et pas droit au dictionnaire pendant l’épreuve… Il faut se concentrer sur le sens du mot en contexte, c’est-à-dire établir un sens probable en fonction de la phrase, du paragraphe, du texte. En général, il y a toujours possibilité de deviner une définition approximative (c’est un peu un travail d’enquêteur!). Ensuite, il faut veiller à restituer dans le résumé le sens du texte, et non celui d’un terme en particulier (qui risque d’être mal compris) : ne vous focalisez pas sur les mots problématiques et essayez de restituer le sens des idées le plus honnêtement possible.Bon courage, et à bientôt sur le site !
Bonjour Rayan,
C’est en effet l’étape délicate pour le résumé. Au brouillon, après plusieurs lectures, vous devez vous demander ce qui est la thèse principale du texte, c’est-à-dire l’idée défendue par l’auteur. Je vous conseille de reformuler cette thèse en la mettant en évidence sur votre brouillon. Ensuite, il faut créer le plan argumentatif du texte : trouvez des titres, numérotez en hiérarchisant (du type I.a)… et indiquez en tête de titre des connecteurs logiques.Exemple :
I. « Faire croire » est une technique de manipulation d’autrui efficace
a) parce que cette technique cherche à influencer les représentations mentales des personnes
b) et parce qu’elle est difficilement décelable lorsqu’elle est pratiquée avec artCe sont le plan et les connecteurs choisis qui vous aident à hiérarchiser les idées et leur enchainement logique.
–> Vérifiez ensuite en relisant alternativement le texte et votre plan, que ce dernier est cohérent et représente bien les idées du texte.Petit indice : une idée fréquemment répétée dans le texte ; et/ou ayant un rapport fort avec le titre ; et/ou mise en valeur en début / fin d’extrait…est en général une idée importante…
N’hésitez pas à remplir le questionnaire pour accéder à des entrainements personnalisés.
En espérant avoir pu vous aider,
A bientôt!Bonjour Fanny,
Je comprends votre interrogation. En effet, la question de l’amorce est traitée différemment selon les enseignants et les correcteurs. Ce qu’il faut retenir, c’est que beaucoup d’étudiants proposent des amorces ineptes, sans réel rapport au sujet, qui peut sembler alors avoir été mal compris dès le départ. Pour éviter cette mauvaise impression, certains enseignants conseillent de ne plus écrire d’amorce. Néanmoins, elle constitue encore pour beaucoup de correcteurs un passage obligé. Le meilleur conseil en la matière est donc de soigner votre amorce, et d’être certaine qu’elle ait un rapport pertinent avec le sujet. Evitez à tout prix les généralités et les approximations.Une citation d’auteur bien réutilisée ou une réflexion personnelle introduisant le sujet constituent les meilleures amorces. Restez simple, précise, efficace.
Bon courage!Bonjour Adrien,
Les deux pistes sont valables! le « faire croire » est envisagé dans les oeuvres comme un ressort de manipulation dans les sphères privées et publiques. On peut par exemple très bien considérer que le groupe social des Liaisons Dangereuses constitue une « micro-société » où les analyses du mensonge « politique » d’Arendt sont pertinentes. En effet, il est fréquemment question dans l’oeuvre des révélations au « public » que les personnages peuvent faire : l’enjeu est davantage de contrôler l’image des faits dans cette sphère publique que ce qui se passe dans le secret des alcôves.
En espérant avoir pu vous aider,
Belle contination à vous!
